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samedi 4 octobre 2014

Histoire romancée sur la Première Guerre mondiale

Nous sommes le 2 novembre 1918, pendant la Première Guerre mondiale qui fait rage depuis 4 ans. François, lui, est un jeune soldat français, qui était obligé de quitter sa famille pour aller combattre les armées allemandes. Heureusement, il avait son ami Robert, qui lui, a aussi quitté sa famille pour aller faire la guerre.

François et Robert avaient très mal dormi cette nuit là. Mais ils devaient se préparer, prendre leur fusil et se mettre en position d'attaque. Puis, dans la journée, l'armée allemande passa sur le no man's land et les soldats rentraient dans leurs tranchées. Robert et François leur tiraient dessus et en abattirent plusieurs d'entre eux. Les autres leur jetaient des grenades. Puis François et Robert sortirent leur tête pour voir s'il y avait quelqu'un sur le champs, mais, soudain, un coup de feu toucha Robert, ce dernier tomba à sol, François baissa aussitôt sa tête. Sa tenu bleu-horizon était tachée de sang. Il pris la plaque d'identité de Robert en pleurant. Il lui prit aussi ses vivres, son fusil et le briquet qu'il avait fabriqué, en espérant le donner à sa femme à la fin de la guerre. Il faillit battre en retraite car les soldats allemands étaient en train de les vaincre. Alors, François et son unité se mirent à marcher de longs jours. François mourait de faim, et les autres aussi. Robert lui manquait terriblement. Un jour plus tard, ils arrivèrent dans un champ où le colonel leur proposa de creuser la nouvelle tranchée. Mais un soldat, qui en avait assez de creuser des tranchées surtout pour battre retraite les jours suivants, ne voulait plus creuser. Le colonel en eut assez lui aussi et l'arrêta. Dans la journée, il l'envoya a Paris, pour qu'il soit abattu. Pendant ce temps, les soldats recreusèrent une tranchée, remirent des sacs de sables. Trois jours se sont écoulés et la tranchée fut enfin terminée. Les poilus avaient besoin de détente ils commencèrent à jouer aux cartes, fumer la pipe, et François, lui, écrivait une lettre a sa famille, dessus y est écrit :
Cher famille, je ne vous ai pas envoyé de lettres depuis un moment car nous avons fait retraite, et, hélas, Robert a été tué. Mais, de mon coté, heureusement, tout va bien. J espère que vous allez bien. Au revoir.
Plus tard dans la journée, le colonel appela l'unité. Ils devaient mettre des pattes de corbeau, et des hérissons sur le champs au cas où les soldats allemands les retrouveraient. Ils mirent aussi des barbelés, et chargeaient leur armes. Le lendemain, tout était calme et cela devenaient lassant. Dans la soirée, François alluma sa lanterne et sortit sa boite à couture. Il recousit son sac troué et son pantalon qu'il avait déchirés dans les barbelés. Le jour qui suivit, il reçu la lettre de sa famille, qui disait :
Cher François, J'espère que tout va bien, nous avons entendu que les Allemands allaient signer une armistice. Continue de te battre cette guerre sera bientôt fini.
Nous t'aimons fort et prions Dieu chaque jour.
François et les hommes de l'unité n'en revinrent pas: une armistice !
Personne ne croyait à cette lettre, sauf François.
Le jour d'après, les soldats allemands attaquèrent leur tranchée. L'unité française essaya de faire une alliance mais ils leur tirèrent dessus.
La guerre faisaient rage, des soldats marchaient sur les pics, d'autres mouraient dans les barbelés . Des canons tiraient à plein régime et détruisaient le champ, puis, soudain, des bruit de moteur retentissaient, et des avions survolaient le champ et lâchaient une véritables pluie de fléchettes. Presque tout les soldats étaient morts. Il ne restaient que François, le colonel Franck et un soldat nommé Frédéric. Toute l'unité ennemie était morte. La pluie s'abattit sur le champ qui se transforma encore en champs de boue. Ils allèrent s'abriter dans leur tranchée. Le lendemain, le 11 novembre, l'église du petit village de Chambourg sonnait. Ils allèrent dans le village où tous les villageois s'étaient rassemblés. Ils leur demandèrent ce qui se passa et il leur répondirent: L'armistice a été signée, c'est la fin de la guerre !
Dans les semaines qui suivirent, François rentra dans son village où sa famille accueillit avec bonheur et soulagement. François leur donna les petits objets qu'il avait fabriqué à base d'obus et de balles. Puis il alla porter ses condoléances à la famille de Robert. Il donna à sa femme le briquet qu'il lui avait fabriqué.
François fut heureux que cette guerre, qui avait durée 1561 jours et avait fait des millions de morts, se termine enfin.

                                                                                                                        par Lucas DIAZ, 5°

vendredi 3 octobre 2014

Les femmes pendant la guerre

Que font les femmes pendant la guerre?

 Dans tous les pays, les femmes deviennent un indispensable soutien à l’effort de guerre. En France, le 7 août 1914, elles sont appelées à travailler par le chef du gouvernement Viviani. Dans les villes, celles qui fabriquent des armes dans les usines sont surnommées les «munitionnettes ». Les femmes auront fabriqué en quatre ans 300 millions d’obus et plus de 6 milliards de cartouches.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e8/Munitions_Manufacturing_NGM-v31-p322.jpg

                  source:  www.ecolehenrichalland.fr
 Désormais, les femmes distribuent aussi le courrier, s’occupent de tâches administratives, conduisent les véhicules de transport se mettent aux travaux agricoles,d'autres s'engagent comme infirmière ou dans les hôpitaux pour soigner chaque jour des milliers de blesser de guerre.

Avec la Première Guerre mondiale, les femmes ont fait les premiers pas sur le chemin de l’émancipation. Mais pour beaucoup, l’après-guerre a constitué un retour à la normale et aux valeurs traditionnelles. En 1921, les femmes au travail en France n’étaient pas plus nombreuses qu’avant 1914. Certaines ont toutefois atteint un niveau de responsabilité inédit. Environ 700 000 veuves de guerre deviennent des chefs de famille. Dans certains pays, comme l’Allemagne et les États Unis, le droit de vote est accordé aux femmes dès 1919. La France attendra 1945 pour que les femmes deviennent citoyennes.

émancipation:l'émancipation féminine est un objectif recherché par le mouvement féminisme.

                       par Jeanne Richard, originaire de Morzine,



  

jeudi 2 octobre 2014

Apprentissage à l'academie chablaisienne

La Première Guerre Mondiale

Tous les élèves qui participent à l'atelier sur la Première Guerre mondiale sont allés à l'académie chablaisienne mercredi 24 septembre après-midi. Voici ce qu'ils y ont appris grâce à Mr Perrier, historien:

La Première Guerre Mondiale s'est déroulée de 1914 jusqu'à 1918. Les soldats surnommés les poilus, étaient dans des trous de terre appelés tranchées. Il y avait aussi des passages étroits, les boyaux, et des espaces vides entre les tranchées ennemies, les no man's land. Leur tenue étaient bleu-horizon, ils portaient un casque adrian, leur gourde, un sac à dos où ils y stockaient un bouton, une boîte de conserve avec du bœuf, une boîte à graisses, un rasoir, une tente individuelle, une scie dépliable et encore d'autres objets. Pour combattre, ils utilisaient des fusils lebel, des lewis, des canons, des grenades et des baïonnettes. Mais quand ils ne combattaient pas, ils jouaient aux cartes, fumaient à la pipe ou écrivaient. Ils parlaient quelquefois l'argo-poilus. 

Mais, pendant cette guerre, il arrivait qu'ils soient à cours de nourriture, alors, quand un coéquipier mouraient, ils ramassaient leurs affaires, leurs plaques d'identité et leur nourriture. Autrement, quand ils se trouaient ou déchiraient leur affaires, ils avaient une trousse de couture. Puis, sur les terrains de combats, ils posaient des pattes de corbeau et des hérissons, qui sont des pics. Des avions passaient et lâchaient des obus et des fléchettes. A la fin de cette guerre, les poilus ramenaient leur casques et des objets fabriqués à base de balles ou d'obus ( clochettes, briquets, bagues...). Et, il ne faut pas oublier que cette guerre fut très mortelle. Elle a durée 1561 jours, ce qui fait 900 hommes français morts par journée.


Par Lucas DIAZ, 5°2

Objets provenant des tranchées, nous vous les présenterons lors de futurs articles

mardi 30 septembre 2014

L'atelier histoire du collège

Les  élèves volontaires de l'atelier sont issus de la 5° à la 3°. 
Nous nous retrouvons avec Mme Berthod, professeur d'histoire, le mardi en S3 dans la salle de technologie du 1ère étage et le jeudi en S3 dans la salle informatique. C'est ouvert à toute personne aimant l'histoire, l'informatique, le dessin, écrire, etc. Nous sommes près de 25 élèves à venir dans l'atelier ou aux sorties scolaires. On peut venir le mardi ou le jeudi ou les deux jours à l'atelier en fonction de ses disponibilités.
Nous tentons modestement de créer une petite société savante digne des philosophes des Lumières au sein du collège!

Qu'est ce qu'une tranchée?

Une tranchée est une allée creusée dans le sol dans laquelle des poilus venaient  combattre, s'abriter et vivre.
Elles étaient protégées par des barbelés et des fortifications.
Dans la tranchée, il y avait des toilettes (pas très confortables.) , une infirmerie et plein d'espaces où les soldats pouvaient essayer de se détendre. Quand ils ne s'occupaient pas de la guerre, les poilus jouaient aux cartes et profitaient des moments où ils étaient libres.
Pendant la nuit, tout le monde ne dormait pas, il y avait des soldats qui jouaient le rôle de garde.
Les tranchées (surtout celles de réserve), qui n'étaient pas très confortables (rats, épidémies....) étaient devenue un véritable lieu de vie.

Parmi les tranchées les plus célèbres, il y a celle  de Verdun.

Par D.B.  4°