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jeudi 6 novembre 2014

Retour dans le passé (suite de "histoire romancée sur la Première guerre mondiale").

Retour dans le passé



Pour voir la suite, voir ''Histoire romancée sur la Première Guerre mondiale".

Après la fin de la guerre, François arriva sain et sauf vers sa famille. Mais nous n'avons point connu le commencement. Je vous propose de connaître le début de l'histoire ci-dessous.


 

Nous sommes le 31 août 1914, François travaillait dans son champ. Robert, quant à lui, aidait François. 

Soudain, ils entendirent une personne crier et appeler les hommes du village. François et Robert allèrent vers lui, et presque tous les hommes du village s'étaient rassemblés. La personne était un messager. Il leur dit:

-Bonjour à tous ! Les évènements précédents, comme le meurtre de l'archiduc François-Ferdinand, ont engendré une guerre. Donc, demain, vous partirez rejoindre votre caserne de mobilisation dans le but d'aller combattre les armées adverses.

François et Robert lurent la confirmation sur l'appel de mobilisation placardé dans le village.
Tous les hommes du village furent contents à l'idée qu'il y ait du changement à la place des champs à gérer, de  nourrir les animaux. Ils pensèrent tous qu'ils allaient combattre luxueusement, dans des abris, qu'ils auraient de la bonne nourriture. Ils rêvaient tous. Mais François et Robert ne furent pas aussi joyeux à l'idée de cette guerre. Ils voulaient terminer les travaux des champs.
Le lendemain, tous les hommes du village, y compris François et Robert, dirent au revoir à leur famille, prirent quelques affaires et leur dirent qu'ils seraient revenus vers la fin du mois, mais ils n'étaient pas conscients que cette guerre allait durer bien plus d'un mois. Et les femmes se dirent qu'elles devraient, elles-mêmes, s'occuper de leur champs, de leurs animaux, de leurs enfants. 

Plus tard, tous les hommes firent connaissance avec le lieutenant Claudius. Ce dernier leur dit ce qu'ils devaient prendre et leur donna leur tenue. La veste était bleue et le pantalon rouge: cette tenue ne leur plaisait pas tellement. Puis, ils commencèrent à marcher et à s'éloigner de leur caserne de mobilisation.

Les combats furent sans réussite.
Puis, au mois de novembre, sur une plaine, le lieutenant leur dit de s'arrêter et de creuser une tranchée. Il leur expliqua comment il fallait faire mais ils l'interrogèrent tous en disant que l'abri n'était pas construit et qu'ils allèrent dormir sur le sol boueux plutôt que sur un lit. Le lieutenant ne leur répondit point et les obligea à creuser la tranchée. François et Robert comprirent qu'ils n'allaient pas passer une bonne guerre. Quelques jours plus tard, le 14 novembre 1914, une escouade allemande passa à proximité de la plaine, quand ils la virent, ils leur tirèrent tous dessus. La petite escouade de 10 soldats fût abattue. 

Le soir, François et Robert, prirent chacun une feuille en papier et écrivirent une lettre à leur famille en leur disant que tout allait bien de leur coté et qu'ils reviendraient bientôt. Puis ils les envoyèrent à l'aide de pigeons. Le jour suivant, ils commencèrent à mettre des barbelés, des sacs de sable car une troupe allemande était à deux pas de leur tranchée. Plus tard, tous les hommes dans les tranchées de réserve se mirent à sortir leur paquet de cartes, ou leur pipe et leur petite bouteille de vin. Le jour qui suivit, ils essayèrent de faire une alliance avec l'escouade allemande. Ils leur donnèrent un peu de leur vin, et les Allemands leur firent un peu fumer leur pipe. Mais, soudain, un coup de feu retentit, un soldat français fut touché, tous les soldats retournèrent dans leur tranchée et se mirent à tirer sur le camp adverse. Plusieurs soldats français furent abattus tandis que dans l'autre camp, presque tous les soldats furent tués, et ceux encore en vie fuyaient. Mais en tout cas cette guerre n'est pas prête d'être finie pour François et Robert.


Une fois ceci passé, ils retournèrent dans la tranchée principale. Ils allèrent poser des pattes de corbeau et des hérissons. Le soir tombé, un soldat amena à François une lettre écrite par sa famille. 
Dessus y était écrit :

Cher François,

Les enfants et moi allons bien, depuis ton départ, je travaille dans le champ comme toutes les femmes du village et les enfants m'aident à nourrir les vaches. Nous espérons que tu vas bien. A bientôt


Une fois lu, il reprit une demi-feuille de papier et leur écrit :


Cher famille,

Je vais très bien, continuez comme ça, je serai bientôt rentré à la maison. Courage à vous tous, avec toutes mes pensées.


Il l'envoya. 
Le jour suivant, une escouade allemande passa sur le champ, plusieurs soldats marchaient sur les pics, la troupe française leur tirèrent dessus. François et Robert prirent leur fusil Lebel et se mirent à tirer sur l'escouade. Au bout d'une vingtaine de minutes, l'escouade allemande fût abattue. 
La guerre continua, jour après jour. Elle était interminable.

Une année plus tard, une troupe britannique vient en renfort à l'escouade de François et Robert. Ils les aidèrent pendant de longs jours, puis ensuite, ils partirent aider une autre escouade française. La guerre, fit rage pendant encore plusieurs années et François et Robert y participaient chaque jour. Ils n'en voyaient pas la fin.



Pour voir la suite, voir ''Histoire romancée sur la Première Guerre mondiale".


Lucas DIAZ 5°


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